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Ces endroits qui disparaissent suite au passage de l'Homme



Les Maldives



Ces fameuses îles tropicales aux couleurs du paradis, bien connues pour leurs plages de sable blanc, ont toujours été l’un des sites préférés des touristes. Malheureusement, le réchauffement climatique pourrait causer la perte de ces kilomètres d’îles. Comme 80% du pays est seulement à 1 mètre au-dessus du niveau de la mer, l’augmentation continue du niveau des océans sonne l’alarme pour ces belles îles. Avec une élévation du niveau de la mer d‘environ 3mm/an, les Maldives risquent de disparaître avant la fin du 21ème.

Alors allez-y ! tant qu’il est encore temps …


Venise, le Cap-Ferret, Bangkok, Tokyo, le canal de Panama sont également susceptibles de submersion, voire de disparition suite à cette même cause.



Des lacs qui disparaissent


Le réchauffement climatique serait aussi le responsable de la disparition de nombreux lacs dans le monde au cours des dernières décennies (exemples : 125 lacs dans la région de l’Arctique, le lac glaciaire de Témpanos au Chili, le lac Tchad en Afrique…)

Mais le plus surprenant et presque méconnu est celui de la mer d’Aral, mais il n’est pas dû à la même cause que précédemment.

Moynaq (Ouzbékistan) a un jour été un port bordant la mer d’Aral (pendant des siècles, le 4ème plus grand lac du monde), où des milliers de pêcheurs vivaient et travaillaient. Ils permirent notamment de lutter contre la famine russe de 1921.

Au début des années 1960, les économistes soviétiques décidèrent d’intensifier la culture du coton (très consommatrice d’eau) en Ouzbékistan et au Kazakhstan. Les fleuves Amou-Daria et Syr-Daria furent privés d'une partie de leurs eaux pour irriguer les cultures.


En 50 ans, la mer d'Aral a perdu 75 % de sa surface, 14 m de profondeur et 90 % de son volume, ce qui a augmenté la salinité de l'eau, rendu le climat encore plus sec, tué quasiment toute forme de vie et intoxiqué ses habitants (cancers, dégénérescences des nouveaux nés, maladies respiratoires, anémies …).

Désormais, Moynaq n’est plus qu’une ville fantôme, abandonnée par ses habitants qui fuient le chômage, les maladies et les changements climatiques (les étés sont désormais 10°C plus chauds et plus secs, et les hivers 10°C plus froids et plus longs). Ne restent que des épaves de bateaux rouillés, des coquillages posés sur une terre sèche et salée et la mer d’Aral s’y trouve à plus de 100 kms …



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